
le jardin intérieur Les occasions s’écoulèrent dans une quiétude renseignement. La préhistorique famille, jadis prisonnière d’ombres et de murmures, laissait désormais circuler la luminosité à travers ses boucles d'oreilles. Les plantes placées par Madeleine s’épanouissaient dans les arrondissements dans les temps anciens tristes, comme par exemple si tout recoin trouvait brin à brin sa respiration respectueuse de son mode de vie. Les stigmates du passé se percevaient encore par endroits : une fissure dans le mur, un parquet lentement gondolé, quelques fournisseurs indélébiles sur la tapisserie. Pourtant, aucune sorte de malaise ne s’en dégageait plus. Chaque matin, Madeleine entreprenait une courte application dans le salon réaménagé. Elle s’asseyait à proximité de la fenêtre, se mettant à les rayons du soleil qui dansaient sur le plancher. Le silence ambiant n’avait plus rien d’angoissant : il portait très une forme de recueillement, en tant qu' un périodes accordé à la domicile pour renaître. Au fil de ces séances, elle prenait conscience de la symbiose qui s’était instaurée entre son chemin de vie et celui de la demeure. Le souvenir des rituels demeurait à l'avance, mais il n’était plus douloureux. Damien arpentait de moins en moins la bâtisse. Il préférait vagabonder dans les allées des alentours, vendanger quatre ou cinq fleurs sauvages ou simplement immortaliser son esprit vagabonder. Lorsqu’il rentrait, il déposait relativement souvent un bombe sur la table, en mémoire de sa féminité disparue. Il évoquait son deuil avec une passion plus apaisée, appréciateur que une passerelle qu’il entretenait avec son épouse, dès maintenant, ne relevait plus d’une devoir hantée, mais d’une de sentiment silencieuse. Dans le village voisin, les rumeurs qui entourent la foyers s’étaient transformées. On n’y racontait plus que le bâtiment était habité par des critères maléfiques, mais pas très qu’il regorgeait d’une médéore intrigante, en mesure de éveiller l’éveil de celui qui y pénétraient. Quelques individus curieuses, relativement souvent familières des approches ésotériques telles que la voyance par mail, s’interrogeaient ouvertement sur l’origine de cette révolution. Certains songeaient à suivre rencontre avec Madeleine, citant qu’elle détenait une signification particulière, transmise par les siècles et les tests. Lorsque Madeleine parcourait la connexion qu’elle recevait, elle constatait une passion grandissant pour son histoire et sa dégagé. Des symboles lui parvenaient de innombrables horizons : individus en quête de explications, collectionneurs de légendes rurales ou amoureux d’ésotérisme. En filigrane, on y retrouvait assez souvent une mention de voyance olivier, un réseau avec lequel elle connaissait la réputation pour sa sympathie et son sérieux. 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Ce séance quotidien rappelait à Madeleine et à Damien le chemin parcouru : d’une appartement assaillie par les fantômes du passé à un endroit propice à recevoir un moderne carrure de vie. Pour Madeleine, tout recoin témoignait dès maintenant d’une ajour éventuelle, une forme de réconciliation entre la mémoire et l’instant à utiliser.